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| | je sirote ma détresse, je pirate ses caresses. (aiya) | |
| Auteur | Message |
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Djibril Amaan
Messages : 24 Avatar, © : burbigo, ©rastamachine. Pseudo : anaïs.
| Sujet: je sirote ma détresse, je pirate ses caresses. (aiya) Ven 1 Sep - 17:28 | |
| le visage fatigué. alors qu'il vient de terminer sa nuit de sommeil. enfin, sa nuit, c'est vite dit. sa matinée de sommeil serait plus juste. parce qu'il a bossé cette nuit, djibril. jusqu'à cinq heures du matin. l'odeur d'alcool qui est venu s’imprégner dans ses vêtements. djibril, on aurait pu dire qu'il était complètement pété alors qu'il n'avait bu aucun verre. pas un depuis toute une semaine. sa vie, elle devient triste. trop sérieuse surtout. et ça ne lui plaît pas. pas du tout. trop calme pour lui. il s'ennuie. boulot, dodo. rien de plus que ça. pourtant, il a des plans pour aujourd'hui. un truc cool. qui l'occupera pendant un bon moment, ça c'est certain. un truc qui va l'faire marrer même. djiibril, il se prépare. il faut bien qu'il finisse par sortir de son lit. le soleil est déjà bien trop haut dans le ciel pour qu'il n'y reste. son réveil affiche quatorze heures. la moitié de sa journée déjà passée. écoulée alors qu'il dormait paisiblement. l'homme, il traine des pieds. ses talons claquant contre le sol à chaque pas. comme si mettre le pied devant lui était la chose la plus difficile. comme s'il pesait actuellement deux tonnes. mais c'est pas l'cas. oh ça non. il tape juste des pieds volontairement. parce que le voisin du dessous fait trop de bruit. musique à fond. s'foutant totalement de déranger les autres. djibril, il aurait pu accompagner ses gestes à la parole. gueuler un bon coup. mais pas l'temps pour ça. il doit se dépêcher. ou essayer de le faire plutôt. vagabonder dans son loft à la recherche de ses vêtements. d'une serviette propre aussi, pour sa douche. et ça s'avère compliqué, c'est ça l'pire. il râle. peste après son manque d'organisation. et l'bordel. loft digne d'une chambre d'adolescent. mais il n'est pas encore motivé à ranger. demain peut-être. sûrement même. parce que demain, il n'a rien de prévu. aucune personne a aller voir. quinze minutes plus tard, il est fin prêt. le cul dans sa voiture, il roule. une dizaine de minutes à peine. et la station service se dessine devant lui. au loin. alors un sourire vient étirer ses lèvres à la simple pensée de ce qui va suivre. parce que aiya, elle est en service. c'est sûr. et aiya, elle va pas assumer ce qu'il s'est passé entre eux aussi, sûrement. mais lui, il ne va pas manque l'occasion d'en parler. juste sous son nez. d'en jouer aussi. l'homme, il se gare et ne tarde pas a entrer dans la station service. sans aucun but. clairement. et on voit bien qu'il n'est pas là pour acheter une quelconque connerie. non. parce qu'à peine entré, son regard trouve la jeune femme. et ne la lâche plus. ses yeux qui s'attarde sur les courbes de son corps. courbes plus qu'attrayantes. courbes bien plus intéressantes une fois dénudées. y'a pas à dire. il s'approche d'elle. lentement. comme pour s'faire désirer. comme pour laisser croire à la gamine qu'elle pouvait encore fuir. l'éviter. foutaises. parce qu'il la suivrait à coup sûr. remise de tes émotions ? et y'a ce sourire à la con qui vient étirer ses lèvres. comme pour lui faire comprendre ce a quoi il pensait en balançant ces quelques mots. et pour allier les gestes à la parole, y'a son bras qui s'enroule autour de ses hanches. sans rien tenter de plus. il attend juste. juste pour voir sa réaction. |
| | | Aiya Ashcroft
Messages : 183 Avatar, © : Teresa Seco, (c) cosmic light Pseudo : Mzelletracy
Job : employée dans une station service | Sujet: Re: je sirote ma détresse, je pirate ses caresses. (aiya) Ven 1 Sep - 21:24 | |
| Aiya comptait les heures avant de pouvoir enfin rentrer chez elle et enlever ses chaussures dans laquelle, elle ne se sentait pas du tout à l’aise dedans. Puis ce boulot, ce n’était pas celui de ses rêves. Quelques fois, elle en venait à regretter son choix de vouloir se détacher du statut social de sa famille pour se débrouiller seule. Elle ne gagnait pas des masses et devait supporter des clients qu’elle aurait préféré éviter. Grande gueule, elle s’était déjà prise la tête avec des mecs irrespectueux ou des bombasses qui la prenait pour la bonne à tout faire. Parfois, elle vivait un enfer mais, elle ne disait jamais rien à sa famille. Et puis, parfois, c’était encore pire. Elle voyait débarquer un connard de première, un homme qui la répugnait au plus haut point. Mais, surtout, depuis une certaine nuit, elle ne voulait absolument plus le croiser, elle ne pouvait plus le voir en peinture. Djibril, un prénom qui résonnait encore dans sa tête. Il n’arrêtait pas de lui tourner autour pour la mettre dans son lit et il a fallu d’une fois, d’une seule fois où elle a baissé sa garde pour qu’il y arrive. Et depuis, cette fameuse soirée, elle ne l’avait plus revu, ni même croisé et de toute façon, elle ne le voulait pas du tout.
Alors qu’elle commençait à faire le tour des rayons pour voir ce qu’elle devait rajouter comme produits, elle repensa à cette nuit fatale qui, depuis, avait changé complètement sa vie. Elle posa une main sur son ventre, s’en allant quelques minutes dans les nuages de son imaginaire jusqu’à ce qu’une voix l’interpella. « remise de tes émotions » Cette voix, elle l’aurait reconnu parmi des milliers mais, elle ne voulait, non, elle ne voulait pas l’entendre à nouveau. Une rancœur monta en elle à la simple vue de ce corps en face d’elle. Elle le détestait tellement, il lui donnait envie de vomir. Elle enleva de suite sa main de son ventre et se dégagea de son étreinte lorsqu’il se permit de mettre ses bras autour de ses hanches. « casse-toi de là amaan » elle n’en pouvait plus de lui. Elle continua à faire son boulot, montant sur un tabouret pour remplir le rayon boisson. « t’as pas autre chose à faire que de me saouler ? » encore maintenant, elle se demande ce qu’il a bien pu lui passer par la tête pour se retrouver dans ses draps. Il l’avait foutu enceinte et il osait encore venir fanfaronner devant elle comme un gosse de dix ans. « grandis un peu amaan avant qu’il ne soit trop tard. »
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| | | Djibril Amaan
Messages : 24 Avatar, © : burbigo, ©rastamachine. Pseudo : anaïs.
| Sujet: Re: je sirote ma détresse, je pirate ses caresses. (aiya) Sam 2 Sep - 19:08 | |
| aiya qui se dresse devant lui. gamine concentrée. clairement ailleurs. dans ses pensées. présente physiquement, mais bien trop loin mentalement. inaccessible. alors lui, il en profite. il l'observe. prend son temps. profite du fait qu'elle ne l'ai pas encore vu pour laisser ses yeux parcourir son corps. et les souvenirs resurgissent. les mains de djibril qui découvrent petit à petit le corps de la gamine. mains puissantes qui se font pourtant si douces. les vêtements qui retrouvent le sol. comme si c'était là leur place. pour maintenant comme pour toujours. djibril, il se souvient encore nettement de cette nuit. de chaque mot échangé. de chaque caresse. de chaque regard. il pourrait décrire sans aucun mal chaque courbe du corps d'aiya. l'emplacement des quelques grains de beauté qui recouvrent sa peau. la texture exacte de sa peau selon les différentes zones. pourtant, il chasse bien vite ces souvenirs de ses pensées. d'un simple clignement de paupière. se remettre les idées en place, rapidement. parce que c'est pas vraiment le moment de penser à tout ça. enfin, pas comme ça. pas en visualisant le tout. pas alors qu'elle est là, juste sous son nez. pas alors qu'il est ici dans l'unique but de l'emmerder un peu. alors les mots quittent d'eux-mêmes les lèvres de l'homme. une fois à ses côtés. une fois à sa hauteur tandis que sa main se glisse sur sa hanche. contact dont il aurait pu se passer, clairement. main posé sur son corps dans l'unique but de la tester. de voir sa réaction. et ça ne tarde pas. aiya qui se glisse d'entre ses doigts. s'éloigne de lui aussi. comme si elle cherchait à l'éviter. à s'en éloigner le plus possible. et lui, ça l'amuse. au moins un peu. parce que dans le fond, cette réaction, c'est exactement celle à laquelle il s'attendait. gamine un brin trop prévisible. même si l'action à laquelle il ne s'attendait vraiment pas, c'est passé y'a quelques semaines. là où elle a enfin cédée à ses avances. alors qu'il n'y croyait plus vraiment. comme pour le faire s'accrocher encore un peu plus. aiya, elle joint les mots aux gestes. une fois éloignée de lui, sa voix résonne dans la station service. ton las. si il n'y était pas préparé, il l'aurait sûrement mal pris. s'il n'y était pas habitué aussi d'ailleurs. parce que aiya, elle est toujours comme ça avec lui. à le remballer. à l'envoyer chier. t'es pas contente d'me voir aiya ? il mime presque la surprise. comme s'il pouvait réellement espérer qu'elle serait heureuse de le voir. qu'un sourire étirait ses lèvres à la simple vue de l'homme. ça le fait marrer d'imaginer cette situation. improbable. aiya, elle se hisse sur un tabouret. visiblement décidée à bosser. visiblement décidée à lui donner une belle vue sur son postérieur. homme qui ne se gêne aucunement pour observer. ne cherchant même pas à être discret. pas la peine. c'est encore mieux si elle s'en rend compte. tu sais bien que c'est mon occupation préférée. aiya, elle continue. elle enchaîne. lui dit de grandir. il hausse les épaules. simplement. parce qu'il se fout bien de ce que les gens peuvent bien penser de lui. djibril, il ne la décolle pas. il ne la décollera pas. pas pour le moment. c'est bien trop tentant de la pousser à bout. de s'amuser encore avec elle. juste un peu. la draguer encore. laisser ses mains se parcourir sur elle. juste comme ça. pour voir si elle se laisserait tenter à nouveau. tu m'as l'air tendu aiya, j'peux t'aider à évacuer tout ce stress si tu veux. il joue au lourd. il aime bien faire ça. surtout avec elle. parce que ça la gonfle en un rien de temps. sa simple présence réussit à l'énerver, alors ses paroles ne feront qu'aggraver son cas. |
| | | Aiya Ashcroft
Messages : 183 Avatar, © : Teresa Seco, (c) cosmic light Pseudo : Mzelletracy
Job : employée dans une station service | Sujet: Re: je sirote ma détresse, je pirate ses caresses. (aiya) Sam 2 Sep - 21:04 | |
| Elle avait beau se concentrer sur son boulot, essayé d’effectuer les tâches qui lui étaient destinées mais, aiya n’y arrivait pas. Elle avait toujours ses images de cette nuit où elle s’était laissé aller dans les bras de djibril. Elle n’arrivait pas à se les enlever du crâne, c’est comme si elles étaient ancrés à jamais dans sa mémoire. Et elle s’en voulait, terriblement, parce que même si elle détestait cette façon qu’il avait d’être avec elle, même si elle le trouvait irrespectueux et tellement lourd dans sa drague, elle avait tellement apprécié ce moment torride qu’ils avaient partagé ensemble. Elle avait apprécié sentir sa peau nue contre la sienne, ses tendres caresses qui parcouraient son corps et son souffle dans sa nuque. A ce moment-là, face à djibril, elle s’était senti vivante et tellement importante. Au fond d’elle, elle ne lui en voulait même pas pour cette soirée, elle lui en voulait de revenir ici, pour la chercher et la foutre en rogne. C’était du passé, elle aurait voulu faire un trait sur cette petite incartade et continuer à vivre sa vie. Mais, s’en était impossible, ce petit pois dans son ventre, cette décision qu’elle devait prendre pour son avenir lui rappeler tous les jours ce qu’ils avaient fait ensemble.
Depuis, elle n’avait plus laissé un homme la toucher, même l’effleurer. Ainsi, lorsqu’il avait posé ses mains sur elle, elle sentit un frisson l’envahir. A tout moment, elle pouvait retomber dans ses bras mais, elle se l’interdisait. Elle ne pouvait pas le laisser à nouveau gagner. Descendant de son échelle et se mettant face à lui, pour la première fois depuis l’incident comme elle l’aime l’appeler, elle lui fit face. « Arrête de mater mes fesses s’il te plait, elles sont trop bien pour toi. » Jamais il ne se gênait pour faire ce qu’il aimait le plus et ça l’agaçait tellement. « Je serai toi, je la fermerai parce que tu en as assez fait comme ça me concernant… » A chaque fois, elle se retenait de lui dire qu’il allait être père et pourtant, elle savait qu’un jour ou l’autre, elle devrait lui annoncer. La décision qu’elle prendra, d’ici deux semaines, avant qu’il ne soit trop tard, le concernait aussi. Même si, au fond d’elle, elle savait pertinemment ce qu’il lui dirait. Abandonner son enfant, abréger cette grossesse. Elle ne l’imaginait pas une seule seconde être d’accord pour assumer son rôle de père. Il n’était pas assez mature pour aiya.
Elle continua son chemin qui la séparait du comptoir en lui tournant le dos. Pendant ce laps de temps, elle put, assez vite, effacer cette larme qui s’écoulait sur sa joue. Depuis toute petite, elle s’imaginait rencontrer son prince charmant, avoir un mariage de rêve avec des plumes et des paillettes de partout et puis, la maison, les animaux, les enfants. Elle s’était complètement ratée en commençant par la fin et surtout avec un homme qui ne l’aimait pas. « Ce n’est tellement pas le moment djibril. » murmura-t-elle. Elle prit une grande inspiration et souffla. « Tu veux pas acheter quelque chose au lieu de me prendre la tête ? T’as pas une autre fille à mettre dans ton lit ? » Elle lui fit face à nouveau alors qu’il l’avait suivi. « Tu m’as eu déjà, tu m’as amené plein de problèmes, t’as complètement changé ma vie ! Tu veux quoi de plus merde ? Tu attends quoi de moi amaan ? » Elle avait tenté de garder son calme mais, s’en était trop pour elle. Elle n’en pouvait plus de jouer un rôle et de tout garder pour elle, de faire comme si tout allait bien alors qu’elle avait l’impression de tout perdre. |
| | | Djibril Amaan
Messages : 24 Avatar, © : burbigo, ©rastamachine. Pseudo : anaïs.
| Sujet: Re: je sirote ma détresse, je pirate ses caresses. (aiya) Mar 5 Sep - 12:16 | |
| djibril et aiya, au final, c'était même pas vraiment censé arriver. la gamine, elle n'était pas censée céder. parce que même djibril commençait à se faire à l'idée. l'idée que le seul endroit où il réussirait à venir caresser la peau nue de la jeune femme, était dans ses rêves. et juste dans ses rêves. parce qu'elle se tenait toujours à l'écart. parce qu'elle le repoussait à chaque fois. même s'il revenait. même s'il ne la lâchait jamais bien longtemps. jamais vraiment de repos. djibril en permanence sur son dos. c'est comme ça qu'il l'a eu d'ailleurs. à l'usure. c'est ce qu'il se dit du moins. il est bien loin de s'imaginer qu'elle s'est laissée tomber dans ses bras à cause d'une quelconque déception. parce qu'elle recherchait un peu de tendresse. de chaleur humaine. et qu'il était simplement là au bon moment. et en ce moment, les seules pensées qui traversent l'esprit de djibril sont des souvenirs de cette fameuse nuit et quelques questions la concernant. savoir si elle céderait de nouveau. savoir s'il avait une quelconque chance de remettre le tapis. c'pas vraiment son genre à l'homme de coucher deux fois avec la même fille. question d'habitude. mais aiya, il a eu du mal à l'avoir, alors tenter de nouveau l'expérience ne serait pas vraiment de refus. si on lui offre l'occasion, il ne refuserait pas. il ne réussirait même pas. aiya offerte sur un plateau d'argent, il le prend. il la prend. mais pour le moment, il se contente d'essayer de la prendre dans ses bras. de l'attirer contre lui. sauf qu'elle s'éloigne bien trop vite. comme parcouru d'une décharge électrique à son contact. sauf qu'il n'a même pas le temps d'en être certain. il n'a pas le temps de sentir sa peau frissonner. son corps réagir. il aurait pris un malin plaisir à lui en parler. encore et encore. la confronter aux envies de son corps. pas celles de sa tête. non, celles de son corps. ces petites réactions qui le trahisse. l'homme, il l'observe. ne la quitte pas des yeux. pas même quand elle se hisse sur le tabouret. quand elle lui offre en spectacle la vue de son postérieur. elle le voit faire. parce qu'il n'a pas essayé de se cacher. pas besoin. pas l'envie non plus. juste pour avoir la chance de l'entendre râler encore un peu. pour avoir la chance qu'elle lui tende une perche quant à la nuit qu'ils avaient passés ensembles. et elle le fait aiya. elle lui dit qu'il n'est pas assez bien pour elle. enfin pour ses fesses en l'occurrence. et ça le fait sourire. les sourcils qui se haussent légèrement. c'est pas ce que tu disais y'a quelques semaines. il rentre pas dans les détails. il la laisse faire le lien avec ce à quoi il pensait. aiya, elle continue. elle balance encore une simple phrase. phrase qu'il ne comprend pas. pas vraiment. l'incompréhension qui se lit sur chacun de ses traits. qu'est-ce que j'ai fais au juste ? non parce que t'étais quand même consentante, j't'ai pas forcé. et c'est la vérité. djibril, il n'a jamais forcé la main à personne. il drague. s'amuse. et laisse les choses se faire. laisse la fille craquer surtout. aiya, elle se tire. elle continue son chemin. sans trop lui prêter attention. elle va derrière le comptoir. barrière désormais bien nette entre eux. barrière que djiibril effacerait bien, mais il se retient. se contente se venir se placer en face d'elle, les bras appuyés contre ce dernier. les yeux dans les yeux. c'est jamais l'moment avec toi de toute manière. ça t'arrive jamais d'être de bonne humeur ? les mots qui s'enchaînent. gamine qui ne veut pas s'arrêter en si bon chemin. mais il se contente de remuer négativement la tête. mouvement de gauche à droite. pour lui signaler que non, il n'achètera rien. et que non, il n'a aucune autre fille a aller voir. de toute manière aucune n'amuse djibril autant que aiya. aucune ne fait le poids. alors aucune ne réussirait à le dissuader de venir lui rendre visite. mais ça, il ne le dira pas. parce que aiya, elle prendrait un malin plaisir à en tirer des conclusions assez diverses. et aiya, elle lui balance qu'il lui a apporté sa dose de problèmes. qu'il devrait la laisser tranquille puisqu'il a eu ce qu'il voulait. ses bras viennent se croiser sur son torse. juste comme ça. je t'ai apporté quoi comme problème au juste ? simple curiosité. savoir de quoi elle parle. de quoi elle l'accuse, surtout. et c'est pas parce que j'ai eu ce que je voulais que je vais te laisser tranquille. il ment pas djibril. parce que ça ne servirait à rien. |
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| Sujet: Re: je sirote ma détresse, je pirate ses caresses. (aiya) | |
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| | | | je sirote ma détresse, je pirate ses caresses. (aiya) | |
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